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 Cleveland Cavs

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jona
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jona


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MessageSujet: Cleveland Cavs   Cleveland Cavs EmptySam 13 Jan - 21:08

CLEVELAND CAVALIERS


Historique de la franchise

Les premières années (1970-1974)

La franchise des Cavaliers est fondée en 1970, avec Bill Fitch comme entraîneur. La première saison est très difficile : les Cavaliers commencent par 7 matchs à l'extérieur qu'ils perdent tous avec 17 points d'écart en moyenne. La première victoire arrive au bout du 16e match face à Portland. Les Cavs finissent bons derniers de la ligue avec un bilan de 15 victoires pour 67 défaites.

La mauvaise performance de la saison passée octroie au Cavaliers le premier choix de la draft 1971 : c'est Austin Carr qui est sélectionné. Issu de l'université de Notre Dame, il a enregistré une moyenne de 34,5 points durant sa carrière universitaire. Un honnête début de saison porte Cleveland à 15 victoires en 39 matchs, mais l'équipe s'effondre en janvier et termine la saison une nouvelle fois en dernière position avec seulement 23 victoires.

Durant l'intersaison 1972, les Cavs échangent Butch Beard aux Seattle Sonics contre Lenny Wilkens. Mais Wilkens, blessé, est indisponible en début de saison ce qui condamne Cleveland, remportant au final 32 matchs, grâce à de bonnes performances collectives au mois de mars.

Pendant l'été 1973, Cleveland échange deux valeurs sûres (John Johnson et Rick Roberson) aux Portland Blazers en échange du 2nd choix de draft avec lequel l'équipe sélectionne Jim Brewer. Le joueur est une déception, tournant à 6 points de moyenne, et le club ne remporte que 29 matchs.



L'accession aux play-offs (1974-1978)

1974-75 est la première saison où l'équipe est enfin compétitive, et prétend même à une place en playoffs pour la première fois de son histoire. Mais les blessures de joueurs-clés comme Jim Cleamons ou Austin Carr vont coûter leurs chances aux Cavs qui manquent les playoffs d'une victoire, avec un bilan de 40 victoires pour 42 défaites.

Le début de saison calamiteux réalisé en 1975-76 est vite rattrapé quand les Cavs récupèrent Austin Carr de blessure. Le jeu très collectif de Cleveland — 7 joueurs à plus de 10 points de moyenne — permet aux Cavs de réaliser une très bonne seconde partie de saison qui leur offre la première participation en playoffs de leur histoire avec 49 victoires pour 33 défaites. Leur première série en playoffs, face aux Washington Bullets, sera épique : Cleveland remporte 3 matchs à chaque fois dans les dernières secondes, pour finalement remporter la série 4 manches à 3. Accédant aux finales de Conférence face aux Boston Celtics, les Cavs accusent le coup quand leur meilleur marqueur (et deuxième rebondeur de l'équipe), Jim Chones, se fracture le pied. Les Cavaliers sont finalement battus en 6 manches par les Celtics.

Stimulés par leur réussite la saison précédente, les Cavs réalisent un excellent début de saison 1976-77. Rattrapés par les blessures, Cleveland baisse de rythme mais rallie toutefois les playoffs avec 43 victoires au final. Ils retrouvent à nouveaux les Bullets de Washington qui prennent leur revanche sur la saison précédénte.

Durant l'intersaison, les Cavs perdent Jim Cleamons, parti aux New York Knicks mais compensent avec la signature de Walt Frazier, qui s'impose dans l'équipe comme second meilleur marqueur, derrière Campy Russell. La saison 1977-78 se termine une nouvelle fois au premier tour des playoffs, où Cleveland perd contre les Knicks.



Une période tourmentée (1978-1986)

La série de trois apparitions consécutives en playoffs prend fin en 1978-79 à cause de nombreuses blessures dans l'effectif. Avec seulement 30 victoires au compteur, l'entraîneur Bill Fitch, aux commandes depuis la création du club, est limogé. La saison 1979-80 est une saison de transition sans playoffs pour Cleveland.

Les Cavs sont vendus pendant l'été 1980 à Ted Stepien. Il nomme immédiatement Bill Musselman entraîneur. Mais Musselman ne tient même pas une saison à son poste, Cleveland plonge à 28 victoires. Seul Mike Mitchell est une source de satisfaction avec 24 points de moyenne par match (8e dans la ligue). Mitchell quitte le club pour San Antonio durant l'été 1981.

La saison 1981-82 est misérable pour Cleveland qui clôt son exercice avec 19 défaites consécutives. Les 15 maigres victoires sont le pire bilan du club depuis sa création. Le résultat catastrophique n'assure même pas le premier choix de draft aux Cavs, qui l'ont échangé aux Lakers deux ans plus tôt pour Don Ford, qui ne jouera que deux saisons à Cleveland. Les Lakers sélectionnent James Worthy avec ce premier choix. Les Cavs ne remportent que 23 matchs durant la saison 1982-83, mais évitent quand même une nouvelle saison à plus de 60 défaites avec l'acquisition de World B. Free en décembre qui mène la franchise avec 24 points de moyenne.

La vente de l'équipe en 1983 aux frères Gund ne change pas les résultats sportifs, les Cavs sont pour la sixième saison consécutive privés de play-offs.

L'arrivée de George Karl pour la saison 1984-85 va enfin permettre à la franchise de redécoller, après un départ catastrophique (2 victoires en 21 matchs), les Cavs se qualifient enfin pour les playoffs avec un bilan de 36 victoires pour 46 défaites. Ils sont battus au premier tour par les Boston Celtics.

Durant la draft 1985, les Cavs sélectionnent Charles Oakley mais l'échangent immédiatement à Chicago contre Keith Lee et Ennis Whatley. Les deux joueurs n'apportent quasiment rien à Cleveland tandis qu'Oakley aura une excellente carrière entre Chicago et New York. La saison 1985-86 est une nouvelle fois sans playoffs.



L'ère Daugherty (1986-1995)

Après plusieurs décisions catastrophiques, la chance va enfin sourire à Cleveland qui échange Roy Hinson à Philadelphie contre le 1er choix de la draft 1986.
Il est utilisé pour sélectionner Brad Daugherty, tandis que Ron Harper est sélectionné en 9e position, et Mark Price, sélectionné par Dallas au second tour, est récupéré.
Le 19 juin, deux jours après la draft, Wayne Embry est nommé vice-président et General Manager du club, faisant de lui le premier manager noir de l'histoire des sports professionnels aux États-Unis.
Associé à la venue de Lenny Wilkens au poste d'entraîneur et du jeune John Williams, les Cavaliers présentent enfin le profil d'une équipe prometteuse.
Et si les Cavs finissent derniers de leur division avec 31 victoires, l'avenir ne semble pas moins prometteur : Harper, Daugherty et Williams sont les trois meilleurs marqueurs de l'équipe, tous trois nommés dans la All-Rookie team (équipe virtuelle des meilleurs débutants de la saison élue par un panel de journalistes).

Les performances aperçues la saison précédente paient enfin durant la saison 1987-88, même s'ils sont affaiblis en cours de saison par le transfert qui envoie le rookie Kevin Johnson, Tyrone Corbin et Mark West aux Phoenix Suns contre Larry Nance : 12 défaites sur les 15 matchs suivants le transfert. Les Cavaliers se qualifient néanmoins pour les playoffs avec un bilan de 42 victoires pour 40 défaites grâce à une solide défense. Ils sont battus au premier tour par les Chicago Bulls de Michael Jordan, qui va devenir au fil des saisons le grand bourreau du club.

Le quator Williams / Daugherty / Harper / Price trouve le bon rythme après deux saisons passées ensemble : la saison 1988-89 est la plus victorieuse de l'histoire du club avec 57 matchs remportés. Seconds dans leur Conférence, les Cavaliers vont de nouveau se faire battre par les Bulls de Michael Jordan au terme du cinquième match, qui marque le panier de la victoire dans les dernières secondes. Ce tir d'anthologie est surnommé « The Shot ».

La saison suivante est ternie par les blessures, qualifiés de justesse, les Cavs sont sortis une nouvelle fois au premier tour, par les Philadelphia Sixers cette fois ci. Mais la saison 1990-91 est encore pire : seul Craig Ehlo parvient à jouer les 82 matchs. Mark Price manque notamment 66 matchs, un ligament du genou gauche déchiré après s'être jeté sur un ballon perdu. Cette blessure réduira grandement ses capacités physiques jusqu'à la fin de sa carrière. Pour noircir encore plus le tableau, Danny Ferry, le second choix de la draft 1989 acquis en échange de Ron Harper durant l'intersaison, est loin d'être à la hauteur (8,6 points de moyenne)
Les Cavaliers ne remportent finalement que 33 rencontres. Ils sélectionnent à la draft Terrell Brandon en 11e position, qui s'avère être rapidement un remplaçant de qualité pour Mark Price.

Le club retrouve son niveau en 1991-92. Débarrassée des blessures, l'équipe égalise son record de victoires en saison régulière, et remporte pour la première fois en 16 ans une série de playoffs face aux New Jersey Nets. Après avoir éliminé les Boston Celtics au second tour au terme d'une série très disputée, les Cavaliers sont finalement battus par les futurs champions en titre : les Chicago Bulls.

Pour la saison 1992-93, les Cavaliers enregistrent l'arrivée de Gerald Wilkins. Après un début de saison difficile que Brad Daugherty manque suite à une blessure, l'équipe réalise une fin de saison tonitruante pour obtenir un bilan de 54 victoires pour 28 défaites. Mais une fois de plus, les Cavaliers sont éliminés en playoffs par les Chicago Bulls. À la fin de la saison, Lenny Wilkens démissionne pour rejoindre Atlanta. La draft apporte de nouveau un joueur de choix au club : Chris Mills. Les Cavs font une autre bonne opération en échangeant un futur choix de draft contre Tyrone Hill, qui s'installe rapidement comme un valeureux ailier fort capable au rebond.

Le remplaçant de Wilkens, Mike Fratello, connaît des difficultés à cause des blessures subies par Brad Daugherty et Larry Nance. Avec 47 victoires, les Cavs rallient néanmoins les playoffs, juste pour se faire balayer au premier tour par les Chicago Bulls.

Le changement de stade pour la saison 1994-95, de la banlieue au centre ville, ne brise pas le signe indien qui frappe depuis plusieurs saisons les joueurs : Brad Daugherty et Gerald Wilkins manquent la saison complète tandis que Mark Price et son remplaçant Terrell Brandon en sont absents une grande partie. Pour rester compétitif, Fratello met un place un système de jeu défensif consistant à ralentir le rythme du jeu au maximum. Les 89,8 points encaissés en moyenne par match sont le second plus faible total de l'histoire de la ligue depuis la mise en place de l'horloge des 24 secondes. Avec un effectif réduit au minimum, les Cavaliers se qualifient ainsi pour les playoffs, et sont éliminés au premier tour par les New York Knicks.



Une longue période de transition (1995-2003)

Ses problèmes de dos semblant incurables, Brad Daugherty part à la retraite. Terrell Brandon prend alors les commandes : meilleur marqueur de l'équipe, il est nommé au All-Star Game.
Les Cavaliers, même s'ils ne marquent que 91 points par match, se qualifient de nouveau pour les playoffs grâce à leur défense de fer : les 88,5 points encaissés par match sont un nouveau record dans la ligue. Mais les lacunes offensives sont fatales à l'équipe en playoffs qui est de nouveau balayée par les Knicks au premier tour.

Le jeu ralenti à l'extrême montre ses limites pendant la saison 1996-97 : même si les 85,6 points encaissés de moyenne sont un nouveau record, les Cavaliers laissent échapper les playoffs de justesse en perdant le dernier match de la saison face aux Washington Bullets.

Cet échec est l'occasion de rénover de fond en comble l'équipe : les quatre meilleurs marqueurs Terrell Brandon, Chris Mills, Tyrone Hill et Bobby Phills quittent le club. Brandon et Hill sont transférés à Milwaukee dans un échange à trois équipes où Cleveland récupère Shawn Kemp. Chris Mills et Bobby Phills, arrivés à la fin de leurs contrats, signent ailleurs.
Pour les remplacer, Cleveland récupère Wesley Person. Arrive également le pivot lituanien Zydrunas Ilgauskas, sélectionné un an plus tôt lors de la draft.

Les changements portent leurs fruits : Shawn Kemp porte l'équipe jusqu'aux playoffs avec 47 victoires. Au sein de l'équipe, les six meilleurs marqueurs ne jouaient pas à Cleveland la saison passée !

Les espoirs du club lors de la saison 1998-99 (raccourcie à cause de la grève des joueurs) s'envolent quand Zydrunas Ilgauskas se fracture le pied après 5 matchs. Fratello, qui ne parvient pas à qualifier le club en playoffs, est remplacé par Randy Whitman. Ilgauskas, indisponible également pour la saison suivante condame de nouveau les Cavs. Shawn Kemp, esseulé, ne peut empêcher Cleveland de perdre 50 matchs, même si la draft a apporté Andre Miller qui semble être le meneur du futur des Cavs. En revanche, le flair du club à la draft semble disparaître et plusieurs mauvais choix vont se succéder au fil des années : Trajan Langdon, DeSagana Diop, Dajuan Wagner et Chris Mihm.

Kemp, sur le déclin, est transféré à Portland avant la saison 2000-01. Mais les joueurs obtenus en retour n'apportent pas de contribution significative. Danny Ferry, après 10 saisons passées à Cleveland, quitte le club en étant le joueur ayant joué le plus de matches sous le maillot des Cavaliers (avec 723)
Pour la troisième saison consécutive les Cavs sont privés de playoffs avec seulement 30 victoires.

Le nouvel entraîneur John Lucas ne parvient pas à changer les résultats du club : les Cavs remportent un match de moins que la saison précédente. La seule satisfaction est Andre Miller qui est le meilleur passeur de la ligue. Durant la draft 2002, les Cavs réalisent un bon coup en sélectionnant au second tour Carlos Boozer, qui monte rapidement en puissance au sein du club.
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MessageSujet: Re: Cleveland Cavs   Cleveland Cavs EmptySam 13 Jan - 21:12

Un franchise-player nommé LeBron James (Depuis 2003)

Cleveland Cavs James


Durant l'intersaison, les Cavs se séparent de leurs deux meilleurs marqueurs : Miller est envoyé aux Los Angeles Clippers contre Darius Miles, un jeune ailier athlétique, Lamond Murray est envoyé à Toronto contre un futur choix de draft. La saison est littéralement sabordée, pour augmenter les chances d'obtenir le premier choix de la draft : les Cavs ont déjà en vue LeBron James, le lycéen qui est déjà un phénomène local et au potentiel illimité. Ils finissent derniers de la ligue, ex aequo avec les Denver Nuggets. Mais la loterie les départage en leur faveur, ils obtiennent le premier choix.

La saison 2003-04 démarre avec une ferveur qu'on n'avait plus vu depuis longtemps à Cleveland. James répond à toutes les attentes et devient meilleur marqueur de l'équipe. Il est nommé rookie de l'année. Les Cavaliers manquent les playoffs d'une victoire, à cause d'une fin de saison catastrophique mais l'avenir du club semble rayonnant.

Cependant, le départ de Carlos Boozer est un coup dur pour l'équipe. Ce dernier demande au club, durant l'été 2004, de lever l'option d'un an supplémentaire qu'elle détient, pour resigner immédiatement un plus long contrat. Le staff des Cavs accepte, mais une fois l'option levée, Boozer signe immédiatement un énorme contrat avec le Utah Jazz que les Cavs ne peuvent égaliser. La franchise s'en sort honorablement en remplaçant Boozer par Drew Gooden qui réalise alors sa meilleure saison. Si sur le plan individuel LeBron James progresse, l'équipe manque une nouvelle fois les playoffs de peu, alors qu'elle était en tête de sa division au début de la saison.

Afin de retrouver les playoffs dès la saison 2005-06 qui débute, les Cavs nomment Danny Ferry, l'ancienne gloire du club, au poste de manager. Peu après son arrivée, il conclut un nouveau contrat avec Zydrunas Ilgauskas et recrute 2 agents libres de bon calibre, Larry Hugues et Donyell Marshall. Le premier sort d’une saison à Washington au cours de laquelle il a été le seul joueur de la ligue à aligner au moins 22 points, 6 rebonds, 4 passes et 2,5 interceptions. Le second, en provenance de Toronto, est un ailier expérimenté qui détient le record NBA du nombre de paniers à 3 points marqués en un match (12). Fort de ce recrutement de qualité, la franchise de Cleveland réalise un excellent départ avec un bilan en novembre 2005 de 10 victoires pour 4 défaites. Après 3 mois équilibrés, l’arrivée de Ronald Murray en provenance des Sonics relance la machine qui se remet à gagner à l’approche des playoffs. Dans le sillage d’un LeBron James au-delà des 30 points par match et présent dans le top 20 de plus de 25 catégories statistiques, les Cavs obtiennent 50 victoires pour la première fois depuis 1993 ainsi qu'une qualification en phase finale attendue depuis 1998. opposés aux Washington Wizards, la série se joue autour du duel entre James et Gilbert Arenas. Dans le sillage de King James, les Cavs remportent la confrontation en 6 matches avant de défier les Pistons. Après avoir mené à la surprise générale 3 victoires à 2, les Cavaliers s'inclinent finalement face à la défense de fer de la franchise de Détroit. Cleveland ne marque que 61 points lors du match numéro 7, établissant le record du plus faible total pour un match décisif de playoffs.


Dernière édition par le Sam 27 Jan - 23:07, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Cleveland Cavs   Cleveland Cavs EmptySam 10 Nov - 0:33

A OUBLIER...


Tout est dis dans le titre, cette année s'est avéré bien longue et tristou pour les Cavs de Cleveland qui ne pourront même pas bénéficier de leur 1stpick qui est parti à New York. C'est donc bien une saison désastreuse qui apparait lors du bilan d'après saison.
Jamais l'équipe n'a été en mesure de se battre pour une place qualificative pour les PO malgré tous les éfforts des dirigents avec les nombreuses transactions éffectuée, et après tout cela, on se demande même si transaction il y aurait dû avoir car le départ de KG a fait très mal tant il était complémentaire avec Lebron. Ce même Garnett qui fini MVP de la saison, de quoi donc s'arracher le peu de cheveux qu'il reste à Jona(oui oui je suis allé chez le coiffeur le week end dernier scratch )

Seul motif de satisfaction: la FA qui approche, toute la saison de Cleveland va dépendre de cette Free Agency et même l'avenir dira t-on...

Surtout que James va entamer sa dernière année de contrat et les Cavs craignent le pire, une nouvelle saison sans PO pourrait faire fuir l'enfant cheri


Cleveland Cavs A_br10qjames_0723

Comme le montre LJ, la balle est dans le camp des dirigents s'ils veulent resigner leur star l'année prochaine
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